Restriction de la parole
La soumise peut être privée de la parole.
Dans ce cas, elle n’a le droit de dire que les mots de sécurité.
Dans ce cas, si elle a un besoin essentiel, manger, boire, besoins à exprimer, elle ne le peut. Le Maître doit donc y pouvoir quand il le juge utile. Et la soumise doit donc se retenir et ne pas manifester son envie.
Dans le cas d’une soumise fragile, débutante ou d’une relation douce, le Maître peut donner à la soumise le privilège de pouvoir prononcer quelques mots pour exprimer des besoins urgents uniquement.
Exemple de mots :
- Pipi
- Caca
- Médicament
- Pompe (asthme)
- Etc.
Dans le cas d’une privation stricte, le Maître peut demander à la soumise de lever le doigt pour demander d’écrire au tableau. Dans ce cas, elle peut écrire un mot au tableau pour ne pas rompre son silence forcé.
Dans le cas de certains jeux le Maître peut laisser à la soumise le privilège de prononcer certains mots pour exprimer un désir, une envie, une pulsion. Un personnage de salope par exemple pourra exprimer ses envies sexuelles pour exciter le Maître Avec de courtes phrases ou des mots. Par exemple
- Baise-moi
- Plus fort
- En Anal
- etc.
Le bâillon peut être un instrument de restriction de parole, mais ce n’est pas sa fonction essentielle.
Libération de la parole
Lors de la fin de la séance ou à la fin d’une période donnée, le Maître doit donner une période de libre expression à la soumise.
Cette période lui permet d’exprimer librement ses émotions, son ressenti… Le Maître doit écouter sans interrompre et favoriser cet instant d’échange. Il permet de mieux comprendre et connaître la soumise et de mieux pouvoir organiser les prochaines activités.
La soumise peut également questionner le Maître et doit lui faire part de ses désirs, critiques ou autre, toujours respectueusement.