Je n’ai pas écrit depuis quelques semaines car Professeur Socrate avait envie de tester plusieurs barres d’écartement et autres kit d’entraves. Je l’ai bien sûr aidé dans son envie. J’ai ainsi passé des heures entières dans des positions peu confortables, debout, assise, couchée ou à genoux. Les bras écartés, les mains dans le dos, au niveau du cou ou des chevilles. Je passais ainsi des heures, des nuits et même la journée ainsi. Il m’oubliait dans son donjon. Je restais ainsi sans bouger. Je n’avais rien à faire. Je ne pouvais pas écrire. Par moment, je l’entendais s’occuper de jeunes soumises sans aucune expérience. Pas comme moi qui en apprenais tous les jours. Et puis Messire, le Seigneur du Québec lui a écrit qu’il trouverait ça fort agréable que je sois prise par trois hommes en même temps. Professeur Socrate est alors venu me voir et il m’a lu la lettre.
« On va lui faire plaisir, n’est-ce pas ma 27 ?
– oui, Professeur ! »
Le lendemain, ce fut une journée où je me suis rendue à l’université. J’étais Lorie Verger et j’avais un œuf vibrant dans le vagin. Le professeur, Monsieur Gabriel Chauvet, tourner la molette tout en faisant cours. A la pause, ça a continué. Comme d’habitude, les garçons me tournaient autour et cette fois je me laissais faire. Juste avant la fin de la pause, Monsieur Chauvet est venu voir le groupe qui s’était formé autour de moi. Il a choisi trois étudiants qu’il a pris à part.
« Vous avez envie de baiser Lorie ? »
Les trois ont répondu par l’affirmatif Il leur a alors donné rendez-vous chez lui pour le soir même. J’étais là pour les accueillir. J’ai servi l’apéritif selon le rituel habituel. Professeur Socrate voulait que je sois la plus sexy possible, la plus adorable, la plus aguichante. Je l’étais. Nous sommes allés sur le lit. Ils m’ont caressée. Je les ai caressés aussi. Je les ai léchés. Ils m’ont baisée. Mais Professeur a fini par les mettre à la porte. Ce n’était pas du tout ce qu’il voulait. Aucun, n’avait osé me sodomiser. Au meilleur moment, j’en avais un dans la bouche et un autre dans la chatte. Je tenais juste le troisième dans ma main. Du coup, je restais sur ma faim.
Professeur Socrate sait toujours faire les choses et il les fait bien. C’est mon Maître. Il m’a dit de m’habiller. J’ai mis une mini robe bien moulante et juste un string en-dessous. Nous sommes partis pour une boite de nuit africaine. La nuit était bien avancée et l’ambiance était bien chaude que nous y sommes entrés. Nous étions les seuls blancs. Tous les regards se sont tournés vers moi quand nous avons traversé la salle pour aller s’assoir à une petite table au bord de la piste de danse. Professeur Socrate s’est assis et moi je me suis mise à danser. Je vampiriser les grands hommes en transpiration. Il fallut moins d’une demi-heure pour commencer à arriver à nos fins. J’avais perdu mon string en dansant. Des queues se présentaient à moi. J’en caressais au passage. Puis je me suis retrouvée à genoux et ils passaient devant moi et je l’ai sucé. Un demi-cercle s’était formé autour de moi permettant à Professeur Socrate de bien toit voir. L’homme blanc ne subissait pas l’outrage de toutes ses queues noires dans la bouche de sa femme. Bien au contraire, il l’organisait en distribuant des billets. C’est lui qui a choisi les trois mâles. Ça c’est fait sur la piste de danse.
J’étais nue. Des préliminaires rapides et très efficaces. L’un des hommes, celui qui avait la plus grosse queue s’est allongé sur le dos. Je me suis empalée sur lui. Un autre est venu derrière moi. Il m’a soulevée un peu pour m’enculer. Et j’ai sucé le troisième qui était devant moi. Professeur Socrate tenait cependant à ce qu’ils me respectent. Aucun n’a éjaculé en moi. Les trois sont venus éjaculés sur mon visage. J’ai bu un dernier verre, attablée à côté de Professeur Socrate. J’avais remis ma robe et mon string mais le sperme coulait tours de mon visage.
Pour terminer, mon Maître voudrait que je m’adresse au Seigneur du Donjon là-bas très loin au canada. Il veut que je lui dise que j’aime beaucoup la correspondance qu’il entretient avec mon Maître. Il faut qu’il sache que tous ces désirs sont respectés ici, en France. Je suis une soumise très respectueuse.