Le pilori est un incontournable en donjon avec le carcan.
C’est un des « tendres » supplices préféré des soumises. Il peut offrir des heures de plaisir très diversifié.
Histoire du pilori
Le pilori était une peine ou un homme était exposé publiquement. Cela désignait la peine et l’instrument. La mise au pilori allait de quelques heures à plusieurs jours et pouvait s’assortir de diverses autres peines.
Le pilori pouvait prendre diverses formes, d’un simple poteau de bois ou colonne de pierre, il pouvait être aussi une structure en lanterne (cage suspendue) pouvant contenir un homme plus ou moins debout.
Le pilori en Bdsm
En Bdsm, le pilori désigne un poteau ou deux poteaux qui soutiennent un carcan.
La personne mise au pilori a les mains et la tête bloquée totalement, le dos à l’horizontale. Le dos est accessible pour la cire, martinet… les seins pendent et peuvent être pincés, les fesses sont bien galbées, surtout si la personne est jambe écartée et sont offertes pour la fessée, la flagellation, la pénétration avec des jouets ou un sexe. La bouche est accessible pour la fellation…
Un carcan fixé à quelque chose de fixe et solide peut devenir pilori.
Les types de pilori
Il se décline en nombreux modèles.
- Avec un pied central, avec deux pieds latéraux
- incorporé dans un mur,
- incorporé dans un pied de lit.
- Il peut être réglable en hauteur pour être utilisé couché, à genou, debout penché en avant.
- Il peut avoir une fixation pour bloquer les hanches.
Dans tous les cas, il doit être stable et fixé solidement pour éviter tout renversement.
Son confort pour la soumise peut être augmenté par de la mousse recouverte de cuir dans les orifices du pilori.
La soumise au pilori ne doit jamais être laissée seule sans surveillance.
Le pilori peut être associé à des barres d’écartement ou un Cep pour écarter les jambes et mieux offrir les fesses, le sexe de la soumise.