L’échange
Professeur Socrate m’a échangé avec la soumise de Maître Servan. Je la connais sa soumise. C’est une séductrice. Je suis un peu jalouse qu’elle passe la soirée avec vous. Mais je sais qu’un soumise ne dois pas être jalouse. Alors c’est un secret que je vous dit là et j’espère que vous saurez le garder pour vous.
Professeur Socrate m’a lui-même emmenée chez son ami Maître Servan. Nous avons été dans son donjon. Il m’a mise nue. Dès mon arrivée dans son donjon, Professeur Socrate m’a mise nue. Il a mis des bracelets à mes chevilles et à mes poignets. Il a attaché les bracelets de mes poignets à une lourde chaine en métal. Je ne pouvais que me tenir à genoux avec les mains toujours posées sur le sol. Il a mis un collier autour de mon cou. Il m’a mis un bâillon avec une boule rouge. Il a fixé une pince avec une petite clochette à chaque téton. Il a couvert mes yeux avec un bandeau. Je ne voyais rien mais j’ai entendu Maître Servan vous confier sa soumise. Ils sont partis. Maitre Servan est parti aussi. Je me suis retrouvée seule. J’ai eu envie de pleurer. Mais une soumise ne pleure pas surtout quand son Maître l’a confiée à un autre Maître. J’ai attendu.
Longtemps après, j’ai entendu la voix de Maître Servan. Il tournait autour de moi et me disait des choses vexantes. Il a attaché une laisse au collier que je portais. Il a tiré sur la laisse. Je me suis un peu relevé mais je ne pouvais pas plus à cause de la chaine métallique. Alors, il m’a mise à quatre pattes et il a flatté ma croupe. Il m’a aussi donné quelques fessées mais juste pour s’amuser. Il m’a dit de poser mon front contre le sol et il a continué. Il a frotté sa queue sur mon dos. J’ai horreur de ça car je ne supporte que la queue de Professeur Socrate. J’ai pris sur moi. Il a caressé la raie de mes fesses avec sa queue. Il a dit que j’étais un trou et rien d’autre. Il a collé son corps contre mes fesses. Il a enfoncé son sexe dans mon vagin. Il a tiré sur la laisse pour que je sois encore plus collée contre lui. Il a bougeait comme il voulait en disant que j’étais une chienne et que les chiennes c’est comme ça qu’il les traitait. Il a voulu que je dandine des fesses alors je l’ai fait. Il prenait son temps. Il caressait mon dos et me tirait vers lui en me prenant par les hanches. Plus il jouissait et plus il tirait la laisse vers lui. Il a changeait de trou. Il me sodomisait. Il me faisait mal. Il a fini par jouir.
Il s’est retiré. Il est venu devant moi. Il a retiré la boule rouge de ma bouche et j’ai dû lécher son sexe. Il était mou et gluant. Il a remis la boule rouge. Il a fait tinter la clochette que j’avais au bout de mon téton. Il a disparu pour un moment et je suis restée encore une fois seule. Il est revenu. Il m’a mise à quatre pattes. Il a enlevé le bandeau et je l’ai vu pour la première fois. il m’a vite fait baisser le regard. Une soumise ne doit jamais regarder le Maître qui s’occupe d’elle. Il a enlevé mon bâillon. Il m’a dit qu’il m’avait apporté à manger. Il a posé une assiette creuse sur le sol. Je savais comment je devais manger. Je suis restée à quatre pattes et j’ai baissé ma tête jusqu’à ce que mes lèvres touchent le contenu de l’assiette. C’était un yaourt liquide. Ça tombait bien, j’aimais ça. Alors j’ai lapé avec la langue. J’en ai fait tomber par terre. J’ai immédiatement léché le sol. Une soumise ne doit salir le sol. Je léchais, j’aspirais. Je reprenais mon souffle et je recommençais. Une soumise doit toujours finir ce qu’on lui donne à boire et à manger. J’ai bien tout fini. Professeur Socrate sera fier de moi quand Maître Servan lui racontera.
J’ai eu le droit de me relever. Maître Servan a enlevé tous mes bracelets et les pinces sur mes tétons. Il a juste mis une paire de menottes à mes poignets derrière mon dos. Il m’a fait faire des tours de son donjon. Il tenait la laisse haut et je le suivais et je le suivais droite avec les mains derrière le dos. Nous faisions des allers-retours. Il disait que Professeur Socrate était trop gentil avec moi. Il m’exhibait. Il pressait mes seins en me demandant si ça me faisait du bien. Je répondais ce qu’il fallait. Je répondais « Oui Maître ». Il m’a fait mettre à genoux. Ila caressé mes cheveux et mes seins. Il plaqué ma tête contre son ventre et m’a fait descendre plus bas jusqu’à la hauteur de son sexe. J’ai frotté ma joue contre son pantalon. J’y ai déposé des baisers. Il voulait que je sente son sexe gonflait. C’était le cas.
Pour se calmer, il joua à nouveau avec mes seins : des claques, des pincements, des étirements. Et toujours les mêmes questions et toujours ma même réponse : « Oui Maître ».
Il a sorti sa queue. Je l’ai léchée autant qu’il a voulu. J’ai aussi léché ses testicules. J’ai embrassé son sexe. Il m’a giflé avec. Il me l’a fait désirer. Je l’attendais la bouche ouverte et les mains dans le dos. Je l’ai enfin eu en bouche et j’ai sucé. Il me donnait le rythme. C’était le Maître. J’ai sucé très longtemps car il était très résistant. Il a fini par jouir dans ma bouche. Ensuite j’ai léché son sexe. J’ai avalé son sperme.
Petit moment de repos. Je suis restée à genoux. Il a remis le bandeau sur mes yeux et la laisse entre mes dents. Je suis restée ainsi droite et les genoux écartés. Puis il est revenu et il amis à nouveau son sexe dans ma bouche. J’ai sucé. J’ai entendu la voix de Maître Servan à côté de moi. Ce n’était pas son sexe que je suçais. Je ne savais pas qui je suçais mais je l’ai sucé puis avalé son sperme. Quand Maître Servan a enlevé le bandeau qui était sur mes yeux, il était seul. Il a ensuite enlever la paire de menottes de mon poignet droit pour le remettre aussitôt mais mes mains étaient désormais devant. Je suis restée à genoux et il m’a fait mettre les mains derrière la tête. il a ris une cravache.
Il a caressé mes fesses avec la cravache puis il a remonté mon dos. Je me tenais le plus droite possible. Je regardais devant moi. La cravache a redescendu mon dos, mes fesses, mes cuisses. Maitre Servan la laissait devant mon visage. J’ai arrêtée de respirer. Il l’a descendue sur mes seins puis mon ventre. Il l’a fait claquer dans la paume de sa main. Je n’ai pas pu m’empêcher de sursauter. Il a mis de la musique et il m’a fait bouger sous la menace de la cravache. Je me dandinais. Je dansais, les mains derrière la tête. Je dansais pour lui. Face à lui. De dos. Et il me caressait avec la cravache. Le morceau de musique s’est achevé. Un autre a commencé. Je dansais toujours. Quand le deuxième morceau de musique s’est achevé à son tour, il m’a fait mettre à genoux.
Il a remis la laisse au collier. Il m’a fait mettre à quatre pattes devant lui. Ma tête sur ses pieds nus. La cravache sur mes fesses. Il voulait que je lèche ses pieds. J’ai commencé avec le pied gauche. Ma langue allait partout. J’ai sucé chacune de ses orteils. Il caressait mon dos avec la cravache. Je recevais des petits coups pour m’aider à mieux lécher. J’avais gobé son gros orteil. Je le suçais. Je le suçais sans m’arrêter. Je suçais encore et encore son gros orteil. Je l’ai longtemps sucé. Puis il s’est levé. Il a baissé son pantalon. Il s’est rassis. Ce sont ses testicules que j’ai léché. Ma langue faisait des merveilles. Il tenait son sexe et ne me laissait que ses testicules à lécher. Je les léchais. Et petit à petit, j’ai tout léché. J’ai léché son sexe. Je l’ai pris en bouche. Il me tenait par la laisse. Je ne pouvais pas éloigner ma tête. Il tenait la cravache au-dessus de moi et je continuais à répondre « Oui Maître » à chacune de ses exigences. Il a joui dans ma bouche et j’ai dû lui montrer le résultat en lui ouvrant grand ma bouche.
Il m’a ensuite enfermée dans la cage et Professeur Socrate est venue me chercher peu de temps après.