L’engagement
Je parle bien de collègues et non pas d’amis. Les vrais amis de Monsieur Chauvet je les ai connus par la suite. Cette soirée-là avait été juste la première à laquelle d’autres personnes se trouvaient à la maison. Trois collègues de Monsieur Chauvet. J’étais plutôt impressionnée de me retrouver à une réunion entre professeurs de ma faculté. Je les connaissais tous de vue. J’étais gênée d’avoir une robe si courte mais Monsieur Chauvet avait tenu que je mette la robe habituelle pour ce moment de la journée. Les regards des professeurs m’intimidaient presque. Quand je me suis mise nue et que j’ai servi le repas je me suis quelque que désinhibée. Je n’ai plus pensé à rien d’autre que de faire le service parfaitement pour faire honneur à mon amant. Mon amant qui devenait mon Maître. J’ai failli renverser le plat que j’avais en main quand j’ai senti pour la première fois que l’un d’eux avait mis sa main sur ma fesse. Les fois suivantes, j’ai fait plus attention. Je me suis dit que décidemment, les hommes aiment touchaient les fesses des fils même quand se sont des professeurs d’université plus très jeunes.
Le diner était terminé et je ne savais plus quoi faire. Monsieur Florian a retourné sa chaise. Il a ouvert sa braguette. Il a sorti son sexe et m’a fait signe d’approcher. J’ai tout de suite regardait Monsieur Chauvet. Il m’a fait signe d’y aller. Je me suis mise à genoux entre ses jambes. J’ai caressé son sexe. Il était plus large que grand. J’avais eu un copain qui avait le même genre de bite. Je l’ai léchouillé et puis j’ai fait ce que savais faire. J’ai fermé les yeux et j’ai pompé. A peine en deux minutes, je suis parvenue à mes fins. J’avais le sperme de Monsieur Florian dans la bouche. Monsieur Chauvet m’a aussitôt relevée en me disant de ne pas avalé. Il m’a donné un verre et j’ai craché dedans. Il m’a ensuite mise devant Monsieur Ménard. J’ai sucé la queue de monsieur Ménard et ensuite j’ai recraché son sperme dans le même verre.
Il en restait un. C’était Monsieur Lisnard, un des professeurs les plus âgés de la faculté. Je me suis dit que je n’avais jamais sucé la bite d’un homme aussi vieux. Lui a eu droit à davantage. Le bénéfice de l’âge ? Il m’a emmenée sur le canapé. Il m’a étendue sur le dos. Il m’a léchée entre les cuisses sans vraiment me donner du plaisir. Il faut dire que je me retenais comme par politesse. Mais c’était con. Il n’y a rien de polie à ne pas jouir quand un homme vous lèche le minou. il avait du mal à bander alors je l’ai aidé. Sa bite était dure et moi j’étais mouillée. Il m’a alors pénétrée. Doucement puis il a accéléré. De plus en plus vite et il a éjaculé. J’ai posé un long gémissement pour bien me faire voir. Il est resté en moi pour récupérer. Il est resté comme ça plus longtemps que le temps qu’il avait mis pour me baiser. Je n’ai pas bougé. J’ai tourné la tête et j’ai vu Monsieur Chauvet déballait un cadeau.
Le cadeau était un pilori portatif. Il était composé de trois barres, une verticale et deux horizontales. On pouvait les ajuster dans plusieurs endroits ce qui permettait de multiples positions pour celui ou celle qui y serez attaché. Il y avait des bracelets aux quatre extrémités es barres horizontale et un collier à l’extrémité de la barre verticale. Les quatre hommes m’ont appelée pour que je l’essaye. Je n’en avais pas vraiment envie. Toute seule avec Monsieur Chauvet, je n’aurai bien sûr pas dit non. Je ne lui refusais rien. Mais pas là, pas devant ses invités. Mais Monsieur Chauvet a insisté. Il voulait essayer son cadeau et j’étais la seule fille présente. Alors, les ai laissé faire. Chaque poignet dans un bracelet. Chaque cheville dans un bracelet. Mon cou dans le collier. Ce n’était pas la même sensation que dans le pilori. J’avais le sentiment de pouvoir bouger mais en réalité je ne pouvais pas faire le moindre geste. J’étais la face à la grande glace et j’ai vu les trois amis de Monsieur Chauvet me tripoter à plaisir. Ils passaient leurs mains où ils voulaient, ils mettaient leurs doigts où ils voulaient.
Ensuite, Monsieur Chauvet a pris un martinet et m’a donné 30 coups. A chaque coup je devais compter et le remercier. Je l’ai ainsi remercié trente fois de me donner ces coups de cravache. Puis, j’ai été détachée pour être à nouveau attachée. Maintenant, le pilori était derrière moi et tout le devant de mon corps était exposé. Les trois amis de Monsieur Chauvet s’amusèrent avec moi et avec ce que je leur offrais. Je dis « je » mais je devrai dire avec ce que Monsieur Chauvet leur offrait. Car désormais, j’appartenais bel et bien à Monsieur Chauvet et il faisait de moi ce qu’il voulait de moi. Il m’offrait à ses amis et ses amis s’amusaient follement.
Monsieur Florian s’occupait de me seins, alternant pinces et boules d’aspiration. Monsieur Florian enfoncé divers sextoys dans mon vagin et s’émerveillait à chaque fois du progrès de la technique. Il jouait avec les télécommandes comme un enfant. Pendant ce temps, Monsieur Lisnard, graissait mon anus avec ses doigts puis il m’a enfoncé un objet dans l’anus qui m’a profondément pénétré. La sensation qu’il me donnait était que c’était entre le tuyau et le plug. Je le sentais déposer en moi un liquide visqueux et en même temps vivrait en moi. Les vibrations étaient remplacées pour un court un instant en une décharge électrique. Le tout devenait envoutant. Alors ça, plus mes seins plus mon vagin, je perdais toute retenue.
Avec tous ces appareils en et dans moi, j’ai changé de position. Le pilori portable était à nouveau attaché devant moi. La barre verticale avait été raccourcie. Je me tenais à genoux les bras écartés. Le tuyau dans mon cul déversait toujours le liquide visqueux dans mes entrailles tout en vibrant. Dans mon vagin était niché un œuf aux vibrations qui ne pouvaient laisser insensible aucune femme. Monsieur Florian avait la vitesse la plus rapide et l’intensité sur sa position maximale. Sur les seins étaient accrochés des pinces qui vibraient aussi donnant le sentiment d’un mordillement permanent et à la force aléatoire. C’est dans cette position, le corps entièrement vibrant que j’ai sucé chacun des amis de Monsieur Chauvet.
Cette nuit-là, Monsieur Chauvet devint officiellement pour moi Professeur Socrate. Et moi, je suis devenue sa Soumise 27. Nous avons signé tous les deux le contrat qui nous lie. Ses trois collègues étaient les témoins de notre union. Juste après la signature, j’ai suivi Monsieur Lisnard chez lui. Je suis restée une semaine enfermée chez lui à subir ses assauts et tous ses fantasmes. Je ne vous raconte pas le bonheur que j’ai ressenti quand je suis retournée chez Mon Maitre bien aimé. Professeur Socrate était le Maître que j’aimais. Mon Maître. Je ne le quitterai jamais. Soumise 27. Je m’appelle désormais ainsi.
Pour notre voyage de noces, Professeur Socrate m’a promis que nous irions au Canada. Mestre Ulysse nous y attend.