Cela faisait des semaines que je vivais une vie tranquille et heureuse. J’étais la soumise de mon Maître. J’habitais chez lui. J’aimais le servir. J’aimais ses jeux. Ils étaient toujours les prémices d’une magnifique nuit d’amour. Mon Maître me faisait beaucoup jouir. J’aimais jouir. J’aimais mon Maître. Je sortais très peu. J’aimais l’intérieur de mon Maître. Nous ne sortions que de rares fois, souvent chez amis du Maître. Je rencontrais d’autres soumises. Je retournais aussi à l’université. Juste les fois où mon Maître avait envie de s’amuser à me voir dans la salle où il faisait cours. Il aimait voir les étudiants me tournaient autour pour pouvoir me punir le soir. En général, il me donnait la fessée. Une ou deux fois, j’ai eu un œuf vibrant dans le vagin et mon Maître s’amusait avec en plein cours. J’assumais. Je trouvais ça amusant.
Et puis, mon Maître s’est mis à correspondre avec un Seigneur québécois qui conseillait mon Maître. Mon Maître essaya de nouvelles expériences ou améliora des pratiques que nous avions déjà. La cire, par exemple.
Il arrivait à mon Maître, de pencher une bougie allumée sur moi. La cire encore chaude tombait sur ma peau provoquant une brûlure acceptable. Ça provoquait une sensation en moi. La brûlure se diffusait en moi rapidement. La petite tache de cire refroidie sur ma peau était comme une médaille, une marque d’appartenance à mon Maître. Mais cette fois, le Maître a déposé de la cire sur mes seins. Il a longtemps fait couler la cire sur mes seins. Mes tétons en étaient couverts. Je me suis allongée sur la table et il a continué. Mes seins tout entiers étaient couverts de cire. Je ne ressentais plus les petites brûlures qui me plaisaient tant. J’étais comme prise dans un soutien-gorge en cire froide. La cire était rouge. Le Maître m’a fait descendre de la table.
« Mets-toi à genoux, 27 ! Il va falloir que je nettoie tout ça maintenant ! Mets tes mains derrière ta tête… Et ne bouge surtout pas ! »
Le maître a pris un martinet et a fait claquer les lanières de cuir sur mes seins. Il frappait fort. Il voulait enlever la cire que j’avais sur mes seins à coups de martinet. Alors il frappait fort et ça faisait très mal. Je comprenais la raison mais ça faisait mal. Je ne pouvais pas m’empêcher de pousser des cris ou de bouger. Mon Maître alors me disputait. Je me raisonnais. Je ne pouvais effectivement pas garder cette cire sur mes seins. Je me mettais droite. Je redressais le buste et les lanières de cuir claquaient sur mes seins. La cire tombait mais pas assez vite à mon goût. Mes seins étaient devenus des boules de douleurs. Il restait de la cire. Vous avez continué. Puis vous m’avez dit de me mettre debout.
« C’est presque fini, 27. Tu seras propre comme un sou neuf ! Je vais fignoler avec ça… »
Ça, c’était la cravache. Il enlevait les derniers morceaux de cire en frappant avec sa cravache. La cire était surtout difficile à enlever sur les tétons. Il s’est acharné sur mes tétons. Il a fini par enlever toute la cire. J’avais vraiment mal, mais j’avais gardé mes mains derrière la tête. J’étais fière d’avoir tenu le coup.
Je pensais pouvoir récupérer tranquillement mais la soirée n’était pas terminée. Il a fallu que je m’habille. Mon Maître a voulu que je mette un soutien-gorge. En général, il ne voulait pas que je mette des sous-vêtements. Le simple frottement des tissus du soutien-gorge irritait ma peau. Nous sommes arrivés dans un bar que je ne connaissais pas encore ? C’était une grande salle avec de la musique forte et des jeux de lumières. Les serveuses passaient entre les tables. Elles ne portaient qu’un minuscule short. Elles faisaient le service en topless avec au bout de chaque sein, une pince d’où pendait une chainette qui retenait une petite cloche.
« Le patron est un ami, il manque une serveuse ce soir, vas te changer tu vas un peu bosser… D’accord ? »
Eh bien, oui. J’étais d’accord. J’ai été dans le vestiaire des serveuses. Une baie vitrée le séparait du bureau du patron. Il n’était pas là. Je me suis déshabillée et j’ai mis un short. Une fille est alors passée et m’a dit de ne pas oublier les clochettes. Gentiment, elle se proposa de me les mettre. Elle l’avait fait avec douceur mais ça m’a quand même fait sursauter et crier. Elle s’est excusée. Elle ne pouvait pas savoir à quoi j’avais joué avant de venir là. Ensuite, j’ai fait le service. Je ne sais pas si les clochettes sonnaient. Le bruit de la musique couvrait tout. Les clients aimaient les clochettes. Quand je prenais les commandes et quand je ramenais les boissons, ils s’amusaient à faire tinter les clochettes. J’ai fait le service pendant deux bonnes heures avant que Professeur Socrate ne me dise que nous allions rentrer chez nous. Mais auparavant, il me dit aussi que je devais faire une gâterie au patron du bar pour le remercier.
Ils avaient dû se donner le mot. Le vestiaire des serveuses étaient vides. Le patron était dans son bureau. Il m’a appelé. J’y ai étais. Ce n’était pas la première fois que mon maître me prête à des gens. Je m’y prêtais de bonne grâce si ça pouvait lui faire plaisir. Après tout, dans ma position, il était normal de donner du plaisir à son Maître même en faisant l’amour avec d’autres hommes. Je n’ai pas vraiment faire l’amour avec lui. Il s’est d’abord amusé avec les clochettes. Dans le silence de son bureau, elles tintaient un peu. Puis, il les a enlevées sans être très précautionneux. Comme, j’ai eu un mouvement de repli, il m’a prise par les cheveux en me traitant de petite poule et d’oie blanche. Il s’est mis à me caresser les seins avec force. Il a posé sa bite entre mes seins. Il a serré mes seins avec ses deux mains. Il s’est frotté jusqu’à ce qu’il m’ait couverte de sperme. La douleur était si forte que j’en ai pleuré. Après je n’ai pas demandé mon compte. Je me suis rhabillée à toute vitesse. Je n’ai pas mis son soutien-gorge. Sur mon chemisier, le sperme avait fait une tache.
En rentrant en voiture, Professeur Socrate m’a expliqué que quand l’homme se branle entre les seins d’une femme, on appelle ça une « cravate de notaire ». Je me suis dit en moi-même qu’une telle pratique ne devait pas être prévue pour une femme dont les seins avaient été fouettés avant. Mais j’étais Soumise 27, la soumise du Professeur Socrate. Mon Maître m’a aussi expliqué que dorénavant je devais tout raconter par écrit au Seigneur du Québec. C’est ce que je fais.
Et puis ce fut la période du pinwheel. Je ne savais pas ce que c’était. Professeur Socrate s’en était procuré un auprès d’une de ses amis chirurgiens. C’était un instrument avec une petite roue qu’on pouvait tenir dans sa main pour la faire rouler. Il y avait de longues pointes affinées tout autour de la roue. J’ai cru que c’était un instrument de torture. Professeur Socrate m’a expliqué que c’était un instrument médical que les spécialistes utilisés pour tester la réaction des patients et notamment au niveau de la plante des pieds. Mais je ne me trompais pas, c’était bien un instrument de torture. J’allais vite le comprendre. Au début, quand Professeur Socrate l’a eu, il le passait sur mon corps juste pour provoquer en moi des chatouilles. Sous les seins, sur la plante des pieds, c’était un régal. Puis, je ne sais sur les conseils de qui, il décida que je bougeais trop et il m’a attachée sur la nouvelle table qu’il venait d’acquérir.
C’était une table en bois spécialement construite pour les donjons. Mes chevilles étaient immobilisées dans un carcan en bois. Chaque pied était distant de l’autre d’un mètre. Les poignets étaient enserrés dans des bracelets en cuir. Chaque bracelet était relié à une corde. En tournant une poulie, on pouvait raccourcir ou rallonger la taille des cordes. Ce qui fait qu’on pouvait tendre au maximum le corps de la personne attachée sur la table. J’ai eu droit à passer de longs moments sur cette table, le corps complétement tendu. Et encore, nous n’étions pas à la position maximum. Sur la table, d’autres liens permettaient d’immobiliser les genoux, les cuisses ainsi que la tête qu’on était obligé de garder en arrière. Mon maître m’attachait ainsi, car on lui avait conseillé d’utiliser son pinwheel sur sa soumise attachée ainsi. Je détestais cette position bien plus que le pinwheel en lui-même. Jusqu’au jour où cet homme est venu. Je ne connais pas son nom. Je ne sais pas qui il est. Je ne sais pas d’où il sortait. J’étais attachée sur la table, le corps bien tendu déjà. Mon Maître et lui étaient au-dessus de moi. Ils se donnaient des conseils. Ils se passaient l’instrument. Ils passaient les pointes sur mon corps.
Je ne sais pas pourquoi Professeur Socrate m’a laissée avec lui. Maître Socrate m’a toujours dit qu’il me laisserait décidée de tout puisque j’étais une grande fille. Là, il ne m’avait rien demandé. Je crois que j’aurai dit que je ne voulais pas rester avec cet homme, seule. Il me faisait peur. Mais j’étais attachée et Professeur Socrate n’était plus là. Je n’ai pas voulu lui faire honte alors je me suis laissée faire. Il appuyait fort sur l’instrument. Il me faisait mal. Je lui ai dit. Il m’a bâillonnée avec un bâillon boule. Je ne pouvais rien dire. Il a tourné la poulie et mon corps s’est tendu encore plus. Je sentais le craquement de mes bras. Il a lors passé la roulette juste à cet endroit. Sur mes bras puis sous mes aisselles, en forçant si fort que les pointes sont entrées dans ma chair. Je les sentais. Ça faisait mal. Je ne pouvais que subir puisque mon maître l’avait désiré. L’homme a passé la roulette avec des pointes à travers mon ventre. Sur mon ventre, de fines gouttes de sang ont marqué le passage des pointes. Il a ensuite fait glisser la roulette sur les deux seins puis à nouveau sur le ventre. Et après, il s’est occupé de mes cuisses. Surtout l’intérieur de mes cuisses. Plusieurs allers-retours. Les pointent me pénétraient. Il a alors posé les pointes sur mon front et il a attendu. Il pouvait me défigurer. Il devait voir l’horreur que mon visage ne dissimulait pas. J’ai vraiment pris conscience que je ne pouvais pas faire le moindre geste et, lui pouvait faire ce qu’il voulait.
« C’est vraiment dommage que seul ton Maître puisse faire ça… »
Il est parti puis il est revenu avec une bouteille de vodka à la main. Il en a vidé un peu sur mon visage puis sur mon ventre, mes seins et mes cuisses. Sous mon bâillon j’ai hurlé autant que j’ai pu. Le contact de l’alcool avec les dizaines de minuscules plaies m’a fait hurler. Mon corps tendu s’est crispé. Je suis restée encore longtemps comme ça. Longtemps. Beaucoup trop longtemps. C’est une jeune fille qui est venue me détacher et elle m’a mis de la pommade sur tout mon corps. Elle n’a répondu à aucune de mes questions. Elle a gardé la tête basse. Ce devait être une stagiaire. Je ne l’ai jamais revue.
À mon grand soulagement, la mode du pinwheel est passée. Professeur Socrate m’a offert un œuf vibrant pour que je le mette dans mon vagin quand j’allais à l’université. J’étais assise au milieu des étudiants et il avait le boitier sur son bureau. Il appuyait sur le bouton et l’œuf se mettait aussitôt à vibrer dans ma chatte. Je le voyais me regarder tout en continuant à faire cours comme si de rien n’y étais. Il pouvait régler l’intensité de 1 à 8 et la durée de 3 à 30 secondes. Un programme permettait de répéter une séquence jusqu’à 5 fois. Tout pouvait aussi être géré d’une manière aléatoire par le boitier. Aussi, quand je voyais mon Maître appuyait sur le bouton du boitier je ne savais jamais ce que j’allais endurer. J’avais beau me retenir, j’ai quand même dû gémir quelques fois et même me tenir de toutes mes forces au bras de mon voisin. Le plus rigolo c’est quand il le faisait au cours des pauses alors que je discutais avec les autres.
Le soir, chez nous, nous discutions et nous rigolions beaucoup. Il disait que j’avais des étudiants préférés en cours et moi je lui répondais que c’était sa faute parce qu’il m’envoyait les vibrations quand ça l’arrangeait. Ça a été une belle période. Nous buvions même l’apéritif ensemble, en discutant. Mais progressivement, mon Maître essaya d’autres jouets avec moi. Des vibromasseurs qui paraissaient anodins mais qui à mon contact dégageait un irrésistible force de vibration. Au bout de dix secondes aucune femme ne pouvait y résister. L’excitation était énorme. Je le suppliais de me baiser. Il faisait bien sûr durer le plaisir. Mais après, c’était le nirvana. Par contre, quand il a commencé à enfoncer ces objets dans mon vagin, les vibrations ne provoquaient pas que du plaisir. Un vibromasseur envoyait aussi des décharges électriques. Mon Maître m’expliqua que mon vagin se tendait mieux et était plus apte à le faire jouir quand il me pénétrait. Moi, j’avais envie de lui plaire. Alors je le croyais bien volontiers.